lundi 2 juillet 2007

étape 7 : les lucs - st hilaire

Le départ des Lucs s'est fait vers 8 h 30 depuis l'Historial de la Vendée en compagnie de Jean-Luc, le père de Sabine. Il m'a accompagné en vélo jusqu'à la Courbe. Sur le trajet on s'est arrêté chez son gendre boire un verre (pour moi de l'eau). Il ne valait mieux pas que je boive autre chose, car je savais que deux grosses côtes m'attendaient (celle du château avant le Poiré, assez longue, et celle de la Jamonière, plus courte mais encore plus raide). Je m'en suis pas trop mal sorti : normal je n'avais pas mon sac de 10 kilos sur le dos (merci Sabine qui a fait l'effort de me le ramener à la Courbe).



A la Jamonière une petite halte s'est imposée car j'y ai habité près de 8 mois. Une petite déception, Paul, le maire de la Jamonière ne m'a pas reconnu. C'est l'âge sans doute!!.





Arrivé à la Courbe j'ai eu un petit pincement au coeur. Et oui la boucle du tour de Vendée est bouclée... Je réalise que le défit lancé se termine. Il ne reste plus qu'à aller sur les deux îles : que du bonus.



A la Courbe je devais attendre tous les participants de la randoulette. Malheureusement la rando a été annulée en raison du temps incertain, dommage...
Quelques patineurs de la Vendéenne sont venus me rejoindre. Pour l'occasion, on a ouvert une petite bouteille de blanc (pour fêter aussi la Saint Thierry). D'ailleurs, Thierry et Quentin s'étaient trompés d'endroit, résultat ils sont venus à pieds à la Courbe et repartis en courant. Je ne sais toujours pas s'ils ne se sont pas embourbés, stationnés dans un champs.



A midi nous nous sommes arrêtés à Aizenay pique-niquer. Comme la randoulette n'avait pas lieu, les patineurs n'avaient pas prévu le casse-croûte. Nous sommes alors allés dans une grande surface se ravitailler... en rollers!!!! (avec l'autorisation du magasin, sympa).



Après manger, une petite sieste, nous voilà repartis. Elodie et ses enfants sont repartis vers
La Roche tandis que les autres m'ont accompagné jusqu'à Coëx (Nadine, Sandrine, Martine, Claude et Quentin). Quelques mètres plus loin un grand bruit retentit et tout le monde se retourne...
Martine est tombée de vélo. Heureusement rien de grave, elle n'avait pas vu le poteau au milieu de la piste, caché par un patineur.



A Coëx, je change de rollers pour passer en tout terrain. Ayant déjà emprunté ce chemin, les kilomètres m'ont paru moins long et j'ai été plus malin :
- pris le temps de rechanger les rollers pour la partie roulante ;
- meilleure technique.



Plus loin vers le plan d'eau du Fenouiller j'ai croisé Eric Marquis (sélectionneur de l'équipe de France de rink hockey) qui m'a encouragé et m'a sûrement pris pour un fou.
La journée s'est magnifiquement terminée en rollers-ski : génial
Quel bonheur de patiner au milieu de cette belle nature.


Dès l'arrivée au camping, les étirements terminés, je me suis relaxé au bain bouillonnant.


Le meilleur de la soirée arrive : les filles de l'équipe féminine de hockey du Poiré m'ont chouchouté. (Carole, Cathy et Sabine)
Les pieds sous la table j'ai pu apprécier mon petit apéro avec un invité de dernière minute : Fred
Nous avons mangé ensemble : quelle partie de rigolade!!